POURQUOI UNE CYBERSECURITE ACTIVE ?
Les cyberattaques ne dorment jamais. Chaque jour, des milliers d’organisations subissent des tentatives d’intrusion, de vol de données ou de ransomwares. Pour ne pas subir, il faut détecter rapidement. C’est exactement ce que permet un SOC.


QU’EST-CE QU’UN SOC ?
Un SOC (Security Operations Center) est un centre d’opérations de sécurité qui surveille en continu votre système d’information. Grâce à des outils avancés de détection et une équipe dédiée, il permet d’identifier les comportements anormaux, d’agir en cas d’incident et de limiter les impacts.
35 % des cyberattaques menées entre 2019 et 2022 proviennent de méthodes d’attaques jusque-là encore inconnues (Stoik, 2022).
À QUOI SERT UN SOC ?
Une mission : détecter, alerter, agir
📡 Surveillance en temps réel 24/7
🚨 Détection rapide des menaces (ransomware, phishing, accès suspect…)
🧠 Analyse comportementale et corrélation d’événements
🔁 Réponse coordonnée aux incidents
🛡️ Renforcement continu de la sécurité


POUR QUI EST-CE UTILE ?
PME, professionnels de santé, collectivités… Toutes les structures sont concernées. Le SOC n’est pas réservé aux grandes entreprises. Aujourd’hui, les cybercriminels ciblent aussi les cabinets médicaux, les TPE/PME, les mairies, ou les entreprises industrielles. Pourquoi ? Parce qu’ils sont souvent moins bien protégés.
Protégez votre activité avant qu’il ne soit trop tard
Une surveillance continue, des alertes automatisées, une équipe à vos côtés.
COMMENT NOUS DÉPLOYONS LE SOC ?
Une approche sur-mesure, simple à mettre en place
-
Audit et cartographie de votre SI
-
Mise en place des agents de supervision (EDR, SIEM…)
-
Surveillance, alertes et accompagnement personnalisé

Les 6 services de notre cellule SOC
Le SIEM combine deux fonctions essentielles : la centralisation des journaux d’activité (SIM – Security Information Management) et la détection d’événements de sécurité (SEM – Security Event Management). Il permet ainsi de collecter, analyser et corréler en temps réel les données issues de l’infrastructure informatique afin de générer des alertes pertinentes face aux menaces potentielles.
Il s’agit d’une solution complémentaire au SIEM et à l’EDR, axée sur la surveillance du trafic réseau. Le NDR (Network Detection & Response) analyse les échanges entre les hôtes sans intervenir directement sur les endpoints. Il offre ainsi une vision plus globale du contexte d’une attaque, permettant de mieux en comprendre l’ampleur et de réagir de manière plus rapide et ciblée.
Il s’agit d’une solution complémentaire au SIEM et à l’EDR, axée sur la surveillance du trafic réseau. Le NDR (Network Detection & Response) analyse les échanges entre les hôtes sans intervenir directement sur les endpoints. Il offre ainsi une vision plus globale du contexte d’une attaque, permettant de mieux en comprendre l’ampleur et de réagir de manière plus rapide et ciblée.
Le XDR corrèle les données de l’EDR avec les autres informations du réseau (Cloud, Active Directory…) pour détecter les menaces plus rapidement. Une plateforme XDR ne surveille pas seulement les endpoints, mais aussi les e-mails, les serveurs et le Cloud.
Il s’agit d’une évolution du XDR qui se distingue par sa capacité à être technologiquement agnostique. Cette plateforme peut intégrer des données provenant de n’importe quel fournisseur d’EDR ou de sources de renseignement sur les menaces (CTI), offrant ainsi une flexibilité et une interopérabilité accrues.
Le MDR (Managed Detection & Response) est un service de cybersécurité qui repose sur la collecte et l’analyse d’un large éventail de données contextualisées afin de détecter, analyser et répondre aux incidents. Opéré par un SOC – qu’il soit interne ou externalisé – il permet une prise en charge complète des menaces, depuis leur détection jusqu’à leur remédiation.
Les données brutes
Elles sont compilées dans différents supports qui sont à surveiller et sécuriser : les logs, les metadata d’usage, les données contextuelles du client et les données de la veille cyber sont des exemples de données stratégiques brutes à sécuriser ou qui vont contribuer à détecter des incidents de sécurité.
Les Security Data Lakes
Les SDL, ou puits de logs en français, sont des répertoires de logs qui centralisent des données pour aider à leur gestion. Plus l’interface d’un SOC a de données, plus il apprend à trouver des anomalies et à signaler un risque cyber sur le SI à protéger.
Les outils de détection ?
Ils permettent aux équipes du SOC de trouver les failles de sécurité, et ils se maintiennent à jour grâce à un procédé de machine learning.
Les compétences d'une équipe technique
Un SOC, c’est aussi les compétences d’une équipe qui contrôle l’interface informatique. Les membres de cette équipe possèdent différentes compétences liées à la sécurité des systèmes d’information : sécurité, technologie, opérationnel, tests d’intrusion (pentesteurs) et veille (Cyber Threat Intelligence ou CTI).
L’avenir d’un SOC est orienté sur l’analyse et le traitement de données encore méconnues pour limiter des cyberattaques en constante évolution. Il se met donc perpétuellement à jour, au rythme des techniques des hackers.
Le fonctionnement d’un SOC doit intégrer dans son périmètre de surveillance différents environnements :
- l’environnement Cloud
- l’environnement applicatif
- l’environnement industriel connecté
Un SOC doit aussi faire le lien entre l’entreprise et la réalité de la menace grâce au machine learning. Cela est possible en compilant toutes les données de contexte de l’entreprise (ses vulnérabilités), la réalité de la menace déterminée par la CTI et l’évolution de la menace par la mutualisation de détection d’incidents auprès de plusieurs clients.
L’ère du Cloud a développé la possibilité de mutualiser les infrastructures de défense pour apprendre de plusieurs contextes en simultané. Cette mutualisation permise par des solutions XDR (eXtended Detection and Response) dans le Cloud contribue à l’amélioration en continu de la précision des détections d’incidents de sécurité.
Ce principe d’intelligence collective est enfin mis en application au service de la cyberdéfense, alors qu’elle est déjà exploitée par les cyberattaquants depuis longtemps.